Cette usine, d’une capacité de 100.000 voitures, par an, mais, aussi, de moteurs, va générer, à terme, quelque 4.000 emplois directs et promet de faire passer sa capacité totale de production à quelque 200.000 voitures, d’ici 2022.

En tout, le Groupe français a investi trois milliards de dirhams, pour cette nouvelle usine et devrait injecter le même montant, dans les prochaines années, pour ses futurs projets. C’est dire que l’écosystème, qui sera bâti autour de cette usine, se révèlera d’une grande importance pour toute la région de Kénitra, en particulier, et pour le Maroc, en général.

Selon les responsables de l’entreprise, le site produira des véhicules thermiques et électriques. En outre, il aura un taux d’intégration à l’inauguration de 60%, un pourcentage qui doit passer, dans quelques années, à 80%. Cela montre que le Maroc se spécialise, de plus en plus, dans ce secteur et, surtout, que les groupes mondiaux lui font confiance et parient sur le Royaume.

A noter également que la Zone franche de Kénitra (Atlatic Free Zone) accueille 27 nouvelles usines originaires de 10 pays, une source de fierté pour le Ministre de l’Industrie, Moulay Hafid Elalamy.

bladi